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Un nouveau vol direct vers cette ville géante d'Asie au départ de l’aéroport de Genève !

Publié le 26 mars 2025 à 19h00

Modifié le 28 mai 2025 à 09h06

par Camille Miranda

Jusqu’ici, rejoindre Shanghai depuis Genève demandait au moins une escale. Mais grâce à la compagnie China Eastern, les voyageurs pourront désormais relier les deux villes en un vol direct. Un gain de temps énorme, surtout pour les professionnels et les globe-trotters.

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Ces vols sont prévus quatre fois par semaine, le lundi, mercredi, vendredi et samedi, avec un départ à 12h00 de Genève et un temps de vol prévu de 11h30. Le décollage depuis Shanghai est planifié à 1h30 du matin les mêmes jours avec arrivée à 07h50 à Genève. Ces vols seront assurés par des avions nouvelle génération, moins bruyants et plus économes en carburant. 

Genève, hub stratégique vers la Chine

Avec ce nouveau vol, Genève devient le seul aéroport suisse à proposer deux destinations chinoises (Pékin et Shanghai), une belle preuve de son attractivité à l’international. Les billets sont déjà en vente sur le site de China Eastern, alors si t’as toujours rêvé de découvrir Shanghai ou que t’as un business trip de prévu, c’est le moment de booker ton vol !

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Disneyland Paris : cette combine pour entrer gratuitement fait le buzz

Publié aujourd'hui à 19h25

Modifié aujourd'hui à 19h26

par Jérémy Pennors

Se balader dans les allées de Disneyland Paris, faire coucou à Mickey, grimper dans Space Mountain… tout cela a un prix. Et pas des moindres. Avec des billets qui frôlent désormais les 100 € pour une simple journée, la magie a sérieusement augmenté ses prix. En trois ans, le tarif d’entrée a par exemple grimpé de près de 13 %, rendant l’expérience de plus en plus inaccessible pour de nombreuses familles.

Alors forcément, certains cherchent des raccourcis. Sur TikTok, des vidéos devenues virales ont révélé une astuce simple, mais diablement efficace : récupérer les billets de visiteurs qui quittent le parc et les réutiliser dans la foulée. Les tickets étant valables jusqu’à la fermeture, l’entrée restait ouverte même après une première validation. Une faille exploitée par des jeunes internautes qui s’en sont vantés sans complexe sur le réseau social chinois, tuto à l'appui. 

@waltboy La meilleure astuce Disneyland Paris ! 😉 Que ce soit le matin l’après-midi ou le soir je l’utilise tout le temps et ça me fait gagner un temps fous ! 😝 #disneyland #disneylandparis #dlp ♬ Old Disney Swing Jazz - Nico


Quand le rêve devient inaccessible

Le flou juridique entourant cette pratique la rend d’autant plus tentante : tant que l'échange se fait en dehors des zones de sécurité, le parc ne peut pas faire grand-chose sur le moment. Pourtant, les conditions générales de vente interdisent bien le transfert du billet, mais encore faut-il pouvoir le prouver... 

Face à cette fraude trop visible, Disneyland Paris a été contraint de réagir vite. Des portiques plus stricts ont été installés à l’entrée, accompagnés d’un système de prise de photo automatique. À chaque passage, le cliché du premier visiteur s’affiche, permettant au personnel de comparer les visages. Plus difficile, donc, de se faufiler avec le ticket de quelqu’un d’autre.


Une magie réservée aux plus riches ?

Mais dans les faits, le dispositif n’est pas encore infaillible. Le manque d’agents à l’entrée rend le contrôle aléatoire, surtout aux heures de pointe. Et pendant que Disney muscle son dispositif, d’autres parcs comme celui de Floride ou Shanghai utilisent déjà des technologies bien plus avancées : empreintes digitales, reconnaissance faciale... impossible d’y gruger sans se faire repérer. 

Mais cette histoire de billets partagés pose une autre question, bien plus profonde : qui peut encore se permettre une journée à Disneyland Paris ? Alors que 9 à 10 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté en France et que 1,4 million de jeunes sont estimés être dans une situation particulièrement vulnérable à la précarité, l’inflation des prix transforme peu à peu ce parc populaire en expérience élitiste. Et même si frauder n’est jamais la solution, cette vague de débrouille témoigne d’un malaise grandissant. Quand rêver coûte trop cher, certains préfèrent tenter leur chance… quitte à tricher un peu avec la réalité. 

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